L’escroquerie des grandes éoliennes connectées au réseau en courant alternatif.

Introduction

Nous évoquons ici les grandes éoliennes blanches, litanies de nos paysages modernes, fiertés pour les uns, scandales pour les autres. (Attention à ne pas faire de tout ou rien, il serait déraisonnable de bannir l’éolien du panel de solutions techniques.) Mais, est ce que « ça fonctionne » vraiment ? Il y a en réalité trois façons de répondre à cette question, selon le point de vue que l’on adopte (mais il n’est pas correct d’adopter un point de vue).

L’électrotechnicien

Le premier point de vue est celui de l’électrotechnicien, qui, par temps de vent vient placer son ampèremètre à la sortie de la génératrice. De ce point de vue là, oui, le courant passe, il rentre donc sur le réseau.

L’entrepreneur

Le second point de vue est celui de l’entrepreneur, qui exploite un parc éolien connecté au réseau. Dans ce cas, l’éolien ça fonctionne vraiment très bien, personne n’installe jamais de telles dispositifs sans raison financière, ou gratuitement par écologie, ce qui relèverait de l’utopie (au sens commun). En résumé, un parc éolien est une usine très rentable économiquement dont le but est de faire tourner les compteurs.

L’écologiste

Le troisième point de vue, c’est celui de l’écologiste qui se pose la question de savoir si de telles infrastructures permettent de préserver l’environnement. La réponse est clairement, non, pour la principale raison que, telles qu’elles sont utilisées, connectées au réseau en courant alternatif, on ne sait pas prendre en compte leur production pour pondérer significativement à la baisse sur une consommation d’énergie fossile ou nucléaire. En effet, le réseau en courant alternatif est un modèle mathématique complexe pour lequel de simples additions ou soustractions ne permettent pas d’en décrire le fonctionnement. Ce ne sont certainement pas les tentatives de systèmes de prévisions météo, qui conservent un côté aléatoire inadapté aux exigences du réseau électrique, qui résoudront le problème.

Conclusion

Il serait trop long d’évoquer l’ensemble des problèmes techniques relatifs au « fonctionnement écologique » ou plutôt non écologique des parcs éoliens démesurés, mais l’on peut au moins citer les nuisances visuelles, acoustiques et les dégâts irréversibles sur les sols. De plus, cela constitue une escroquerie sans précédent, que l’on paye sous forme de différentes taxes dont la C.S.P.E. qui a eu plusieurs dénominations sous le même sigle au cours de son histoire. Ainsi, nous payons pour enrichir des exploitants qui détruisent l’environnement et le paysage, et avec le sourire s’il vous plait !